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28 juillet 2013 7 28 /07 /juillet /2013 22:17

Du printemps, tu es le doux frisson,

De l'hiver, tu es l'âtre crépitant,

Qui réchauffe l'être et le corps en chantant.

 

De l'automne tu es l'arbre,

Qui ne perd rien de sa superbe,

Et sublime force intérieure.

 

De l'été, tu es le sourire enchanteur du soleil,

Et, de l'azur, la beauté.

 

Rien nen ne résiste à une telle majesté,

Tu es l'art des saisons,

D'un coup d'oeil polissons

 

Extrait du poème de Pauley perret (à suivre)

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27 juillet 2013 6 27 /07 /juillet /2013 23:57


Bonjour,

Je suis une jeune mamie qui tricote depuis l'âge de 12 ans.

Actuellement à la recherche d'un emploi en attendant la retraite, j'ai donc beaucoup de temps libre pour vous offrir mes services.

Vous me fournissez vos modèles, votre laine, un acompte et dès réception je me mets à vos ouvrages.

Travail soigné et rapide.

Je tricote layette, femmes, enfants, hommes, manteaux pour animaux, bonnets, écharpes, gants, chaussettes et suis ouverte à toutes autres demandes.

Pour les points je fais aussi bien de l'ordinaire, fantaisie, jacquard.

Si vous êtes intéressé, contactez-moi pour connaître mes conditions tarifaires.

A bientôt

 2012-11-10 16.31.501000140 10201308804473171 926952524 n

 




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9 mai 2013 4 09 /05 /mai /2013 12:00

Las hadas, les Fées ibériques, sont très nombreuses, souvent dangereuses et etroitement liées aux Esprits de la mort. Elles sont très vieilles et leurs noms ont autant de racines que le plus séculaire des chênes de Galice. La Jana (Xana antique, ou Fileuse de nuit, a semble t- il délibérérement emmêlé tous les fils et cheveux d'or de son fuseau afin de perdre le curieux et l'empêcher d'en défaire le premier noeud.

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17 mars 2013 7 17 /03 /mars /2013 23:19

L'amour ne disparaît jamais...la mort n'est rien.
Je suis seulement passé dans la pièce d'à côté.
Je suis moi et vous êtes vous.
Ce que nous étions les uns pour les autres,
nous le sommes toujours.
Donnez-moi le nom que vous m'avez toujours donné.
Parlez-moi comme vous l'avez toujours fait.
Ne changez rien au ton,
Ne prenez pas un air solennel ou triste.
Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.
Priez, souriez, pensez à moi, priez pour moi.
Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l'a toujours été.
La vie signifie tout ce qu'elle a toujours signifié.
Elle est ce qu'elle a toujours été.
Le fil n'est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de votre pensée,
simplement parce que je suis hors de votre vue?
Je vous attends, je ne suis pas loin,
juste de l'autre côté du chemin.
Vous voyez, tout est bien.


(Saint Augustin)

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16 février 2013 6 16 /02 /février /2013 11:40

"Y no hay hombre que entrase en este lago sin mandano de las Hadas. (El Baladro de Merlin)."

 


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22 mai 2012 2 22 /05 /mai /2012 10:35

Eh bien! mystérieuses et noires larves de minuit, que faits vous?

(Shakespeare, Macbeth)

 

 

 

 

La théurgie, la kabbale, le paracelsisme, les valentiniens les appellent "Larmes d'Adam", "les enfants de la solitude d'Adam".

 

Pendant 130 ans, Adam s'abstint du commerce de sa femmes, il fut visité par des diables qui devinrent grosses de ses oeuvres, et qui accouchrent de démons, d'esprits, de lamies, de spectres, de lémures et de fantômes."

 

Les Larves, Larva, Larvae, naissent au cours des pollutions nocturnes, et de plaisirs onanistes et cherchent à se fixer dans le sang ou quelque tissu vivant.

 

D' après les occultistes et médiums, ces coagulations fluidiques incubiennes, ces mirages animés e émanations ébauchées d'individus proviennent de "lephialte", maladie poupulaire et "épidémiale" qui, répandant l'infection dans une zone déterminée et circonscrite, frappe d'un même mal un mgrand nmbre d'êtres vivants qui s'y trouvent inclus.

 

Les missionnaires catholiques en Chine se sont abondamment répandus sur les méfaits des fantômes fluidiques, avortons de la lumière vitale, en rapportant "le caractère épidémique et meurtrier auquel succombent des populatons entires que les indigènes qualifient de commerce d'amour avec les esprits".

 

A suivre

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1 novembre 2011 2 01 /11 /novembre /2011 01:04

La face du printemps de là se renouvelle

Le soleil y emprunte une clarté plus belle...

(Amadis Jawvn)

 

Les Muses sont nées, en même temps que les Nymphes, des songes d'un Dieu à l'écoute des vagues. D'abord elles furent trois : Mélité, Mnémé, Aoïde, attachées au sacre des ources, à la mémoire des eaux.

 

A suivre...

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11 août 2011 4 11 /08 /août /2011 16:22

C' est beau, c'est impressionnant, c'est sauvage : il reste maintenant à pollenniser l'esprit, semer, faufiler la songerie aux buissons, repiqer des herbes d'attirance, perdre des sentiers, broder la grâce et l'enchantement ; comme à la haie protectrice des génies champêtres, elles ont ajouté la fleur de mai, la baie de septembre et le voile des filandres.

 

Au claquement de doigts de Viviane, toutes ont dégainé leur plantoir.

 

"Pour aérer la masse de ces fourrés, faites donc dépasser une brassée d'aigrettes d' épilobes et beaucoup de digitales ; il n'y en a jamais suffisamment à mon goût.

 

Je souhaiterais aussi que les branches de ce hêtre descendent plus bas comme les rideaux d'une entrée. On pourrait y tresser un portique d'églantines."

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6 juillet 2011 3 06 /07 /juillet /2011 23:22

A travers bois la cavalcade se déploie. Viviane va devant, toute vêtue de velours de soie vert. Elle s'est fait le teint de lait et la chevelure toute rousse. 

 

C'est la couleur de sa coiffe qui couronne la beauté sur un fond forestier.

 

Depuis les rêveries amoureuses de Merlin, rien n'a été imaginé de plus beau. L'écureuil en est l'esqisse vivante.

 

Elle fait d'ailleurs exprès de longer les étangs, les rivières, d'hésiter à sauter les miroirs  des flaques d'eau pour complimenter son reflet.

 

Elles se  sont arrêtées au milieu du chantier, un grand espace brut et bourru planté de bric et de broc, à la va-comme-je-te-pousse par un dieu primitif qui n'en savait pas plus.

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17 juin 2011 5 17 /06 /juin /2011 22:24

Une apprentie, reconnaissable au bonnet nigricorne, pleurniche de ne plus retrouver ses paniers contenant les fioles d'extrait d' alisier.

 

Derrière la traîne royale la foule lactêïpenne secoue ses antennules, s' assouplit la jambe phylloïde, égrène une gamme flûtée ; bavarde, se bouscule, compare ses finesses d'épiderme, ses élégances d'élytres, s'ajuste l'ombrelle, se chamaille pour deux sous de grelots et finit enfin par répondre aux ordres en s'alignant sur un rang fantaisiste.

 

Une douairière planirostre embouche son olifant et sonne le départ...

 

A suivre...

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